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Auteur Jocelyne Le Boeuf
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n° 18 - Design, recherche et entreprise (Bulletin de Sciences du design, n° 18 [10/12/2023]) / Jocelyne Le Boeuf
[n° ou bulletin]
Titre : n° 18 - Design, recherche et entreprise Auteurs : Jocelyne Le Boeuf, Directeur de publication ; Juliana Alvarez-Dehaut, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Aurore Galli, Auteur ; Marguerite Foissac, Auteur Année de publication : 2023 Importance : 144 p. Présentation : ill. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Sujets : Design
Entreprises
Recherche -- En artNote de contenu : Ce numéro s’inscrit dans la continuité des échanges amorcés lors du séminaire « Inspire » en mai 2022, organisé par l’entreprise EDF (Électricité de France) et la Cité du design. Ces échanges ont souligné le rôle central de la recherche en design en tant que pratique interdisciplinaire et créatrice, capable d’accompagner et d’initier des changements majeurs au sein des organisations, modifiant ainsi leurs trajectoires sociales et économiques.
Cependant, bien que la recherche en design soit fondamentale et possède un fort pouvoir transformateur pour les entreprises, elle reste souvent en marge des approches traditionnelles et ne bénéficie pas d’une valorisation similaire à celle accordée à la recherche scientifique ou à d’autres sciences sociales. Pour que la recherche en design trouve sa place au sein des entreprises, il est nécessaire de créer des structures et des outils encourageant le partage, le débat et la diversification des formes de collaboration dans ce domaine en constante évolution. Ce numéro est ainsi pensé comme une contribution à cet objectif.En ligne : https://www-cairn-info.portail.psl.eu/revue-sciences-du-design-2023-2.htm Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=bulletin_display&id=7628 Localisation : [n° ou bulletin]n° 17 - Design urbains et territoires (Bulletin de Sciences du design, n° 17 [01/05/2023]) / Jocelyne Le Boeuf
[n° ou bulletin]
Titre : n° 17 - Design urbains et territoires Auteurs : Jocelyne Le Boeuf, Directeur de publication ; Catherine Elsen, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Smail Khainnar, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Thomas Watkin, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par Année de publication : 2023 Importance : 145 p. Présentation : ill. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Sujets : Cartographie et art
Collectivités locales
Design urbain
TerritoireNote de contenu : Design(s), urbain(s) et territoire(s) constituent les trois concepts « structurants » de ce dix-septième numéro de la revue Sciences du Design, qui a pour dessein de les mettre en lien et en sens. Leurs anciennes conceptualisations, parfois simplistes et binaires, sont tombées en désuétude et devenues plurielles, et des glissements sémantiques ont opéré en écho à divers changements et enjeux, à la fois locaux et globaux, qui modulent depuis des décennies les sociétés humaines dans toutes leurs composantes
S’agissant du « design », celui-ci se définit en tant que « troisième culture » à la croisée des sciences et des humanités (Archer, 1979). Il déploie une épistémologie et des techniques spécifiques (Vial, 2014), et donne sens à un effet de spécialisation en même temps qu’il se structure en tant que domaine autour d’une identité de métier, gardant une empreinte encore forte de l’objet. Cette « culture professionnelle » du designer (Vial & Watkin, 2021) interroge le milieu dans lequel évolue ce dernier et la manière dont son environnement façonne en retour les missions qu’il se donne. Le modèle de « l’éclipse du projet » (Findeli & Bousbaci, 2005) conceptualise cette mutation progressive de la définition du design. Il montre ce déplacement des propos (objet de design) et des destinataires (sujet de design) du projet de design. D’une approche centrée sur l’objet où le design se caractérisait par son apport et questionnement esthétique et technique, le design s’est déplacé vers les acteurs, en faisant du projet un enjeu relationnel et expérientiel. Ce dépassement vis-à-vis de l’objet fait émerger des approches collaboratives, d’implication des acteurs dans des dynamiques participatives (Sanders & Stappers, 2008 ; Devisch et al., 2008) ou orientées par des technologies (UI et UX, user experience design). Le champ sémantique du design évoque bien ce point focal vers lequel le design s’est dirigé depuis. Les approches du design tentent de se centrer sur les usagers et les utilisateurs par les User-centered design (design centré usager) (Draper & Norman, 1986), les consommateurs, les gens et l’humain avec le Human centered design (design centré humain) (IDEO, 2011). La pluralité des pratiques et des métiers de « designs » nécessite de réviser cet assemblage sémantique au plus proche des experts ou citoyens. Parallèlement, les transferts et mouvements interdisciplinaires et interprofessionnels indiquent les porosités et appropriations, voire des confusions à l’image du « tout urbain ». L’urbanisme tactique et transitoire, les approches de DIY ou DIT, le public interest design, et des conceptions valorisant la dimension publique, écologique, éthique et citoyenne illustrent un horizon commun malgré des appartenances culturelles distinctes.
L’« urbain », quant à lui, n’est plus seulement un « signifiant » qui n’exprime que des oppositions binaires et des dualismes simplistes (« signifiés ») le considérant, par exemple, comme tout ce qui se rapporte à la ville (par opposition à la ruralité et la campagne), ou encore ce qui s’oppose à l’échelle architecturale (projet urbain vs. projet d’architecture). Avec l’éclatement des villes hors de leurs limites traditionnelles (Mongin, 2003) et l’irruption du numérique dans les divers secteurs d’activité (économie, santé, éducation, aménagement de l’espace, etc.), sa nouvelle acception marque la fin des bipolarités bien ancrées du type centre/périphérie, ville/ banlieue, etc. Il ne se présente plus comme une forme physique ou spatiale venant recouvrir les villes, les périphéries et les banlieues (Paquot, 2003). En effet, sans souscrire aux théories considérant la fin des villes et le règne de l’urbain (Choay, 1994), l’urbain est ici conceptualisé comme un mode de vie qui touche toutes les figures des populations, indépendamment de leur lieu d’habitation (Paquot, 2003). Il est un construit socio-spatio-temporel complexe (Khainnar, 2021) qui se nourrit de multiples boucles rétroactives alliant divers processus (perceptifs, actionnels, collaboratifs, et expérientiels) mis en place par des sujets sociaux qui, en ayant différentes temporalités, habitent un double territoire, à la fois réel et virtuel (amplifié par les usages des TIC, en y mettant en place des pratiques (quotidiennes et/ou occasionnelles).
Enfin, le concept de « territoire » est lui aussi devenu hautement polysémique et son interprétation varie selon les disciplines académiques et les traditions scientifiques. Cette notion couvre désormais bien plus que de simples réalités géographiques et administratives. Comme le souligne Thierry Paquot, « le territoire résulte d’une action des humains, il n’est pas le seul fruit d’un relief ou d’une donnée physico climatique » (Paquot, 2009, p. 12). Il englobe donc les espaces vécus, perçus et subconscients, les composantes naturelles, appropriées, et en devient un territoire du « social », délimité par des pratiques et interactions (Torgue, 2010 ; Paquot, 2011). Néanmoins, comme le souligne Alain Faure, ces dernières années une convergence sémantique semble émerger, notamment en Europe, via la « territorialisation de l’action publique » (Faure, 2013). Ce dernier épingle ainsi de nouvelles acceptions, telles que « projet de territoire » ou « gouvernance territoriale », autant d’évolutions sémantiques du territoire qui mobilisent de nouvelles formes de coordination, de nouvelles filières et professions qui émergent dans les champs de l’aménagement, du « design territorial » (Jolivet-Duval, Safin et Huron, 2021), ou encore de l’action sociale.
Cette « territorialisation » va de pair avec la reconnaissance du réseau d’acteurs qui « font le territoire ». Le territoire se lit alors comme un système complexe et évolutif, comme le souligne Alexandre Moine (2006), au sein duquel la population joue un rôle de plus en plus actif bien souvent avec l’aide des collectivités locales. Ces dernières sont considérées comme les plus légitimes pour réguler à l’échelon local la « citoyenneté par la proximité », soit la production même du territoire (et de ses diverses composantes) pour le citoyen et avec le citoyen. Le territoire et ses multiples « performances » (Faure, 2013) se lisent dès lors plus par le registre de la participation (entre autres portée par le design) que par les traditionnelles acceptations géographiques et politiques.
Ces glissements sémantiques propres à chacun des trois concepts se sont aussi accompagnés de rencontres de diverses nature (paradigmatique, conceptuelle, actionnelle, etc.) à leur interface. De ces rencontres ne cessent d’éclore une créativité terminologique visant, selon les secteurs d’activité analysés et les approches scientifiques convoquées, à substantiver et/ou adjectiver tel ou tel concept : design territorial, territoire urbanisé, design urbain, etc. Ce qui a donné lieu à l’émergence de « nouvelles » cultures et pratiques de conception urbaine qui ambitionnent d’humaniser, responsabiliser et, en même temps, enchanter la vie humaine dans toutes ses sphères (urbanité, travail, éducation, santé, tourisme, etc.). Pour cette raison, le présent numéro intitulé « designs urbains et territoires » considère donc ces associations de termes comme des concepts à part entière, faisant chacun état de sa pluralité.
Ces différentes cultures reposent sur des fondements en totale rupture avec les anciennes matrices pyramidales de l’ingénierie classique, où les acteurs destinateurs (élus et décideurs, architectes et urbanistes, etc.) imaginaient et aménageaient le territoire le plus souvent dans des logiques de « silos » pour les acteurs destinataires (habitants, usagers, bénéficiaires de divers services, etc.). Elles font désormais référence à des initiatives portées tant par des citoyens que par des professionnels, et tant à des pratiques expertes qu’expérimentales, qui se veulent être durables, participatives, locales, éphémères et numériquement outillées. Ainsi, des processus comme l’essai-erreur-retour en arrière, la controverse, l’expérimentation, le test, la créativité, la disruptivité, etc. se mutent en de véritables vertus.
Comment dès lors appréhender la diversité des articulations se tissant entre les formes de designs, d’urbains et de territoires ? Les contributions retenues dans le présent numéro tentent d’apporter des éléments de réponse à cette question. Avant de les présenter dans le cadre de trois axes thématiques, il nous apparait pertinen tout d’abord de mettre l’accent sur le profil scientifique des contributeurs eux-mêmes.
En effet, l’appel à contributions a suscité l’intérêt de chercheurs relativement jeunes, parfois accompagnés de scientifiques aguerris. Sur les six papiers sélectionnés pour publication, quatre des premiers auteurs sont ainsi toujours en thèse, et témoignent via leurs observations de dynamiques en « design(s) urbain(s) » très contemporaines. L’appel à contributions semble ainsi faire écho à des recherches émergentes portées par une nouvelle génération de chercheurs, caractérisées par des approches interdisciplinaires renouvelées en termes de cultures du design, de conception urbaine et territoriale.
L’impact de ces recherches interdisciplinaires est particulièrement perceptible sur les terrains français. À l’exception d’une proposition portée par une chercheuse de l’EPFL
sur un terrain belge, les autres propositions s’articulent en effet autour de terrains français. Ce point commun pourrait justifier la diversité sémantique mobilisée autour du concept de « design urbain » : pas nécessairement très usité en France, ce terme s’ouvre ici à une multiplicité d’acceptions. Le parcours des auteurs révèle en outre que sept d’entre eux ont bénéficié d’une formation au design par le passé, parfois en complément d’un passage en architecture, architecture d’intérieur ou urbanisme. Les autres auteurs sont soit des architectes et socio-anthropologues, soit des experts en sciences de l’information et de la communication. Cette combinaison de disciplines a probablement contribué à l’audace thématique et à la pensée originale que l’on capture à travers les pages de ce numéro.
Les propositions sélectionnées pour ce numéro de revue sont en effet considérées comme singulières, à tout le moins conceptuellement parlant, offrant une perspective nouvelle sur la manière de concevoir les territoires. Les chercheurs mettent en évidence l’importance de saisir les cultures émergentes et les dynamiques contemporaines avant même de proposer des solutions innovantes pour la conception urbaine. L’approche interdisciplinaire qu’ils sollicitent permet de transcender les limites traditionnelles de cette conception urbaine et de proposer des solutions plus globales, qui prennent en compte les enjeux sociaux, culturels et environnementaux.En ligne : https://www-cairn-info.portail.psl.eu/revue-sciences-du-design-2023-1.htm Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=bulletin_display&id=7627 Localisation : [n° ou bulletin]
[n° ou bulletin]
Titre : n° 16 - Varia Auteurs : Jocelyne Le Boeuf, Directeur de publication ; Sébastien Proulx, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Stéphane Vial (1975-....), Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par Année de publication : 2022 Importance : 137 p. Présentation : ill. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Sujets : Design
Deuil
Recherche -- En art
Théorie du careNote de contenu : Pour sa seizième édition, Sciences du Design présente un numéro Varia avec des articles qui reflètent la diversité des approches dans les disciplines du design, suivant la politique éditoriale défendue par la revue. Geneviève Raiche-Savoie et Claudia Déméné posent la question de l’enseignement des méthodes de recherche en design auprès des étudiant.e.s en maîtrise à L’École de design de l’Université Laval.
Les auteures font état des principaux modèles de cette recherche, la recherche-action, la recherche-création et la recherche-projet à travers l’analyse d’une trentaine d’articles scientifiques. A partir de ce corpus théorique, d’un cas d’étude inspiré d’une étudiante en maîtrise et de trois entrevues semi-dirigées auprès de chercheur. e. s en design, elles proposent une approche conceptuelle exposant les divergences et réciprocités de ces trois courants de recherche en design afin de guider les étudiant. e. s à se retrouver dans cette complexité de la démarche scientifique et à en réinvestir et enrichir les modèles.
Angelica Adverse et Adriana Doinas se basent sur les travaux du designer Rodrigo Almeida qui intègre les savoirs et rituels afro-brésiliens dans son travail de designer et d’artiste. Elles s’interrogent sur les apports de sa démarche d’ancestralisation dans le processus créatif, aux confins de l’artisanat, de l’art et du design.
L’article de Nawelle Zaidi et Élisa Wrembel porte sur le rôle de l’imaginaire dans les activités de codesign. Elles explorent à travers deux terrains dans le domaine de la santé, la robotique sociale d’assistance et la santé mobile, l’impact de l’imaginaire des usagers sur le processus de codesign, à travers notamment l’influence de la science-fiction qui associe à la robotique et à la technologie tout un ensemble de perceptions négatives. Si ces œuvres permettent indiscutablement de mettre en garde sur des abus et sur des directions à ne pas prendre en matière de technologie, le travail des auteures montre qu’en créant des imaginaires négatifs, on limite également les possibilités de penser à un usage positif de ces technologies. Ou dit autrement, qu’à force de penser l’humain contre la technologie à travers des œuvres de pop culture telles Matrix, Terminator, etc. on s’empêche de penser à des usages de la technologie au service de l’humain, et donc à des futurs préférables. Les auteures discutent alors les possibilités de dépasser ces blocages, notamment à travers des approches de design fiction.
C’est sur l’acceptabilité de l’IA en situation de travail que porte le questionnement d’Alexandre agossah et al. Les auteur. e. s s’attachent en particulier à la prise en compte de l’acceptabilité de l’IA dans les entreprises innovantes dans ce domaine. A partir de l’analyse de trois cas d’usage de l’IA en contexte professionnel (dont un outil qui repose sur du traitement de langage naturel [NLP] et de la gestion de base de connaissances et deux outils prédictifs basés sur du Machine Learning [ML]), l’article vise à mettre en lumière l’apport du design pour la conception de dispositifs qui font sens pour leurs usagers, audelà du solutionnisme technologique encore dominant.
Marguerite Foissac et al. offrent un panorama sur les différents concepts proposés par le design pour aborder les questions de développement durable. Après le le green design, l’eco design et le sustainable design, le regenerative design serait-il le nouveau concept à la mode ? En nous rappelant les origines et les enjeux du « développement durable », ainsi que la nouveauté que représente la régénération comme modèle de changement, les auteur. e. s s’interrogent sur comment le design régénératif pourrait se positionner par rapport aux autres pratiques de design durable et quelles seraient ses contributions spécifiques.
Noémie Chataignier et al. relatent une étude de cas singulière qui révèle le potentiel de la collaboration de deux disciplines, celle de l’éthique et du design (social) pour agir en contexte de soin, notamment pour faire face aux expériences de deuil en EHPAD. Un rappel des implications sociales du design se prolonge par les résultats d’une recherche-action dont la méthodologie explicitée jette les bases d’une discussion sur le potentiel de la rencontre entre éthique et design et sur la démarche d’une mise en action collective innovante. L’article souligne que l’éthique et le design se retrouvent dans une attention au contexte pour l’approcher par un regard et un agir complémentaire qui articulent pragmatisme et réflexivité. Les résultats de l’étude révèlent la nécessité d’une éthicité du processus d’intervention plutôt que d’un cadre éthique apposé aux dispositifs finaux d’une démarche.
Enfin, l’article de Marine Royer et Denis Pellerin s’appuie sur les théories du care développées par Joan Tronto pour s’interroger sur les solutions et réponses que peut apporter le design dans un contexte de prise de conscience d’une croissance destructrice des écosystèmes et de remise en cause de son rôle traditionnel dans le développement industriel. Leur analyse démontre les différentes approches du design au regard du care resitué dans sa généalogie inscrite dans les théories féministes, pour ensuite amener une réflexion sur le design à l’épreuve d’une éthique du care, en plaçant la vulnérabilité comme « chose commune et publique » dans la démarche de conception.En ligne : https://www-cairn-info.portail.psl.eu/revue-sciences-du-design-2022-2.htm Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=bulletin_display&id=7626 Localisation : [n° ou bulletin]Design et territoires de pratiques en santé / Gaël Guilloux in Sciences du design, n° 6 ([01/11/2017])
[article]
Titre : Design et territoires de pratiques en santé : enjeux pour la recherche et la formation Auteurs : Gaël Guilloux, Auteur ; Jocelyne Le Boeuf, Auteur Année de publication : 2017 Page(s) de l'article : p. 24-36, ill. en noir Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Sujets : Démographie médicale
Équipements sanitaires
Hôpitaux
Santé publique
Services de santéRésumé : En quoi les démarches de design au sein d’un écosystème, associant praticiens en santé et en design, patients et accompagnants, chercheurs et étudiants en design, permettent-elles d’aboutir à de véritables propositions innovantes au sein de territoires de pratiques en santé (monde médical et institutions) ? La recherche s’appuie sur des projets inscrits dans ce contexte d’écosystème entre 2014 et 2016 par le Care Design lab de L’École de design Nantes Atlantique. Ils permettent de dégager trois approches que nous analyserons tant sur le plan des processus et des solutions de design, que des questions de recherche par le design et du socle de connaissances nécessaires à la formation des étudiants. Collation, illustration : ill. en noir Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=57366 Localisation :
in Sciences du design > n° 6 [01/11/2017] . - p. 24-36[article]Editorial / Caroline Gagnon in Sciences du design, n° 5 ([01/05/2017])
[article]
Titre : Editorial Auteurs : Caroline Gagnon, Auteur ; Thomas Watkin, Auteur ; David Bihanic, Auteur ; Jocelyne Le Boeuf, Auteur ; Stéphane Vial (1975-....), Auteur Année de publication : 2017 Page(s) de l'article : p. 7-9 Langues : Français (fre) Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=54909 Localisation :
in Sciences du design > n° 5 [01/05/2017] . - p. 7-9[article]Histoire mondiale du design / Jocelyne Le Boeuf in Sciences du design, n° 3 ([01/06/2016])
PermalinkPermalinkVilles intelligentes ? / Jocelyne Le Boeuf in Sciences du design, n° 3 ([01/06/2016])
PermalinkDesign et innovation sociale / Jocelyne Le Boeuf in Sciences du design, n° 2 ([01/12/2015])
PermalinkHistoires du design / Jocelyne Le Boeuf in Sciences du design, n° 1 ([01/05/2015])
Permalink
(en 2015)