| Page(s) de l'article : | p. 176-184, (9 p.) ; ill. en coul. |
| Résumé : | La photographie de Willa Nasatir est difficile à situer. Elle se connecte aux approches contemporaines de la nature morte ou du portrait comme on le voit, par exemple, dans le travail d'Eileen Quinlan ou de R. H. Quaytman. Mais elle a également été comparée au travail de Lee Bontecou pour ses textures inorganiques, et s'inspire de l'histoire esthétique queer. Dans cet échange avec Lauren Cornell, l'artiste discute de son processus et de son approche, de l'histoire "naissante" de la photographie, et de la manière dont le subconscient se manifeste dans son travail. |
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externesPsychic junkyards in Mousse, n°54 (été 2016)
