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| Résumé : | La déportation des peuples d'Afrique vers l'Amérique s'accompagne d'une résistance passant par la danse, le jeu et la musique. Les performances musicales et chorégraphiques racontent les histoires de la plantation, se moquant des maîtres et dénonçant la violence. Ces performances, instruments de libération, participent d'un marronnage créateur. Ce geste créateur marron se retrouve dans le blues, le jazz, le hip-hop des années 1980, puis le rap mais aussi la performance scénique et plastique décoloniale qui se déploie des années 1990.
Les performances d'aujourd'hui permettent aux corps démembrés, défigurés, éparpillés par l'histoire coloniale de se reconstituer, de retrouver une identité. |
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externesPerformance décoloniale in Théâtre public, n° 246 (Janvier - Mars 2023)
