| Page(s) de l'article : | p. 228-233, (6 p.) ; ill. en coul. |
| Résumé : | De l'acte même de projection, de sa matérialité phénoménologique et de son grain archivistique, Rosa Barba a fait le cœur de sa pratique, qui transforme les bâtiments et les corps en écrans précaires mais réactifs. Depuis deux décennies, elle manipule les instruments et les matériaux de l'appareil filmique, les tord et les étire pour révéler leur potentiel sculptural et spatial. Barba apporte maintenant ses chorégraphies distinctives de machines et d'obscurité à la Neue Nationalgalerie de Berlin, achevée en 1968 par Mies van der Rohe. |
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externesPerpetual interference in Mousse, n°76 (été 2021)
