Sujets
Documents disponibles dans cette catégorie (37)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externes
Capucine Vever à La Graineterie de Houilles / Jeanne Mathas in Art Press, n° 520 (avril 2024)
[article]
Titre : Capucine Vever à La Graineterie de Houilles = Capucine Vever at the Graineterie de Houilles Auteurs : Jeanne Mathas, Auteur ; Juliet Powys, Traducteur Année de publication : 2024 Page(s) de l'article : p. 26-27, (2 p.) ; 3 ill. en coul. Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Sujets : Expositions artistiques
Paysage
Photographie -- 21e siècle
Politique urbaine
Territoire
Vever, CapucineRésumé : Avec "Là où le monde déborde", Capucine Vever invite à naviguer en eaux troubles. De Gorée à la Garonne en passant par Ouessant ou Évry-Courcouronnes, elle nous exhorte à éprouver nos paysages. Guidée par le commissariat de Julie Sicault Maillé, l'exposition à La Graineterie, centre d'art contemporain de Houilles (30 mars - 25 mars 2024), souligne une corporalité singulière dans les œuvres de l'artiste. Collation, illustration : (2 p.) ; 3 ill. en coul. Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=76582 Localisation :
in Art Press > n° 520 (avril 2024) . - p. 26-27[article]Être plusieurs publics à la fois, mais pas toujours / Elisa Ullauri Lloré in Marges, n° 38 (printemps / été 2024)
[article]
Titre : Être plusieurs publics à la fois, mais pas toujours : Une sociologie territorialisée des publics de l'art contemporain Auteurs : Elisa Ullauri Lloré, Auteur Année de publication : 2024 Page(s) de l'article : p. 97-113, 17 p. Langues : Français (fre) Sujets : Publics
TerritoireRésumé : Cet article explore les frontières entre les catégories de publics et de non-publics de l’art contemporain, en considérant la diversité des pratiques culturelles, de loisir et d’utilisation de l’espace observée dans le contexte local du FRAC Sud, situé dans un quartier en rénovation à Marseille : comment les enjeux matériels et symboliques, liés à une intégration parfois problématique, contribuent à remodeler les relations souples entre les micro-publics et l'art contemporain. Collation, illustration : 17 p. Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=76739 Localisation :
in Marges > n° 38 (printemps / été 2024) . - p. 97-113[article]Conceptions de la mémoire. / Liu, Chih-Yu (2024)
Titre : [Mémoire / Thèse. Nantes, Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire. 2024]
Conceptions de la mémoire. = Entre deux territoires.Auteurs : Liu, Chih-Yu, Auteur ; Marion Daniel (1978-....), Directeur de la recherche Editeur(s) : Nantes [France] : Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (97 p.) Présentation : ill. en coul. Accompagnement : Un livre. Deux carnets. Deux fleurs séchées Note générale : Parcours " Construire les mondes " Langues : Français (fre) Sujets : Identité collective
Rêves
TerritoireRésumé : "La recherche d'identité dans un espace aux frontières brouillées, aux rythmes des mémoires et de l'histoire. Qui influencent l'autre, qui est l'investigateur du mouvement de nos cultures et de nos sociétés ? Deux territoires et un récit personnel pour seul point de repère dans ces univers hybridés". Chih-Yu Liu. Pays d'édition : FRANCE Note sur les bibliographies, les index et les sommaires : Bibliogr. Filmographie. Note de Mémoire : Mémoire de Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique, Nantes, 2024 Titre de forme : Mémoire / Thèse Ville : Nantes Institution : Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire Année : 2024 Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=77355 n° 17 - Design urbains et territoires (Bulletin de Sciences du design, n° 17 [01/05/2023]) / Jocelyne Le Boeuf
[n° ou bulletin]
Titre : n° 17 - Design urbains et territoires Auteurs : Jocelyne Le Boeuf, Directeur de publication ; Catherine Elsen, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Smail Khainnar, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par ; Thomas Watkin, Dossier dirigé par, réuni par, réalisé par Année de publication : 2023 Importance : 145 p. Présentation : ill. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Sujets : Cartographie et art
Collectivités locales
Design urbain
TerritoireNote de contenu : Design(s), urbain(s) et territoire(s) constituent les trois concepts « structurants » de ce dix-septième numéro de la revue Sciences du Design, qui a pour dessein de les mettre en lien et en sens. Leurs anciennes conceptualisations, parfois simplistes et binaires, sont tombées en désuétude et devenues plurielles, et des glissements sémantiques ont opéré en écho à divers changements et enjeux, à la fois locaux et globaux, qui modulent depuis des décennies les sociétés humaines dans toutes leurs composantes
S’agissant du « design », celui-ci se définit en tant que « troisième culture » à la croisée des sciences et des humanités (Archer, 1979). Il déploie une épistémologie et des techniques spécifiques (Vial, 2014), et donne sens à un effet de spécialisation en même temps qu’il se structure en tant que domaine autour d’une identité de métier, gardant une empreinte encore forte de l’objet. Cette « culture professionnelle » du designer (Vial & Watkin, 2021) interroge le milieu dans lequel évolue ce dernier et la manière dont son environnement façonne en retour les missions qu’il se donne. Le modèle de « l’éclipse du projet » (Findeli & Bousbaci, 2005) conceptualise cette mutation progressive de la définition du design. Il montre ce déplacement des propos (objet de design) et des destinataires (sujet de design) du projet de design. D’une approche centrée sur l’objet où le design se caractérisait par son apport et questionnement esthétique et technique, le design s’est déplacé vers les acteurs, en faisant du projet un enjeu relationnel et expérientiel. Ce dépassement vis-à-vis de l’objet fait émerger des approches collaboratives, d’implication des acteurs dans des dynamiques participatives (Sanders & Stappers, 2008 ; Devisch et al., 2008) ou orientées par des technologies (UI et UX, user experience design). Le champ sémantique du design évoque bien ce point focal vers lequel le design s’est dirigé depuis. Les approches du design tentent de se centrer sur les usagers et les utilisateurs par les User-centered design (design centré usager) (Draper & Norman, 1986), les consommateurs, les gens et l’humain avec le Human centered design (design centré humain) (IDEO, 2011). La pluralité des pratiques et des métiers de « designs » nécessite de réviser cet assemblage sémantique au plus proche des experts ou citoyens. Parallèlement, les transferts et mouvements interdisciplinaires et interprofessionnels indiquent les porosités et appropriations, voire des confusions à l’image du « tout urbain ». L’urbanisme tactique et transitoire, les approches de DIY ou DIT, le public interest design, et des conceptions valorisant la dimension publique, écologique, éthique et citoyenne illustrent un horizon commun malgré des appartenances culturelles distinctes.
L’« urbain », quant à lui, n’est plus seulement un « signifiant » qui n’exprime que des oppositions binaires et des dualismes simplistes (« signifiés ») le considérant, par exemple, comme tout ce qui se rapporte à la ville (par opposition à la ruralité et la campagne), ou encore ce qui s’oppose à l’échelle architecturale (projet urbain vs. projet d’architecture). Avec l’éclatement des villes hors de leurs limites traditionnelles (Mongin, 2003) et l’irruption du numérique dans les divers secteurs d’activité (économie, santé, éducation, aménagement de l’espace, etc.), sa nouvelle acception marque la fin des bipolarités bien ancrées du type centre/périphérie, ville/ banlieue, etc. Il ne se présente plus comme une forme physique ou spatiale venant recouvrir les villes, les périphéries et les banlieues (Paquot, 2003). En effet, sans souscrire aux théories considérant la fin des villes et le règne de l’urbain (Choay, 1994), l’urbain est ici conceptualisé comme un mode de vie qui touche toutes les figures des populations, indépendamment de leur lieu d’habitation (Paquot, 2003). Il est un construit socio-spatio-temporel complexe (Khainnar, 2021) qui se nourrit de multiples boucles rétroactives alliant divers processus (perceptifs, actionnels, collaboratifs, et expérientiels) mis en place par des sujets sociaux qui, en ayant différentes temporalités, habitent un double territoire, à la fois réel et virtuel (amplifié par les usages des TIC, en y mettant en place des pratiques (quotidiennes et/ou occasionnelles).
Enfin, le concept de « territoire » est lui aussi devenu hautement polysémique et son interprétation varie selon les disciplines académiques et les traditions scientifiques. Cette notion couvre désormais bien plus que de simples réalités géographiques et administratives. Comme le souligne Thierry Paquot, « le territoire résulte d’une action des humains, il n’est pas le seul fruit d’un relief ou d’une donnée physico climatique » (Paquot, 2009, p. 12). Il englobe donc les espaces vécus, perçus et subconscients, les composantes naturelles, appropriées, et en devient un territoire du « social », délimité par des pratiques et interactions (Torgue, 2010 ; Paquot, 2011). Néanmoins, comme le souligne Alain Faure, ces dernières années une convergence sémantique semble émerger, notamment en Europe, via la « territorialisation de l’action publique » (Faure, 2013). Ce dernier épingle ainsi de nouvelles acceptions, telles que « projet de territoire » ou « gouvernance territoriale », autant d’évolutions sémantiques du territoire qui mobilisent de nouvelles formes de coordination, de nouvelles filières et professions qui émergent dans les champs de l’aménagement, du « design territorial » (Jolivet-Duval, Safin et Huron, 2021), ou encore de l’action sociale.
Cette « territorialisation » va de pair avec la reconnaissance du réseau d’acteurs qui « font le territoire ». Le territoire se lit alors comme un système complexe et évolutif, comme le souligne Alexandre Moine (2006), au sein duquel la population joue un rôle de plus en plus actif bien souvent avec l’aide des collectivités locales. Ces dernières sont considérées comme les plus légitimes pour réguler à l’échelon local la « citoyenneté par la proximité », soit la production même du territoire (et de ses diverses composantes) pour le citoyen et avec le citoyen. Le territoire et ses multiples « performances » (Faure, 2013) se lisent dès lors plus par le registre de la participation (entre autres portée par le design) que par les traditionnelles acceptations géographiques et politiques.
Ces glissements sémantiques propres à chacun des trois concepts se sont aussi accompagnés de rencontres de diverses nature (paradigmatique, conceptuelle, actionnelle, etc.) à leur interface. De ces rencontres ne cessent d’éclore une créativité terminologique visant, selon les secteurs d’activité analysés et les approches scientifiques convoquées, à substantiver et/ou adjectiver tel ou tel concept : design territorial, territoire urbanisé, design urbain, etc. Ce qui a donné lieu à l’émergence de « nouvelles » cultures et pratiques de conception urbaine qui ambitionnent d’humaniser, responsabiliser et, en même temps, enchanter la vie humaine dans toutes ses sphères (urbanité, travail, éducation, santé, tourisme, etc.). Pour cette raison, le présent numéro intitulé « designs urbains et territoires » considère donc ces associations de termes comme des concepts à part entière, faisant chacun état de sa pluralité.
Ces différentes cultures reposent sur des fondements en totale rupture avec les anciennes matrices pyramidales de l’ingénierie classique, où les acteurs destinateurs (élus et décideurs, architectes et urbanistes, etc.) imaginaient et aménageaient le territoire le plus souvent dans des logiques de « silos » pour les acteurs destinataires (habitants, usagers, bénéficiaires de divers services, etc.). Elles font désormais référence à des initiatives portées tant par des citoyens que par des professionnels, et tant à des pratiques expertes qu’expérimentales, qui se veulent être durables, participatives, locales, éphémères et numériquement outillées. Ainsi, des processus comme l’essai-erreur-retour en arrière, la controverse, l’expérimentation, le test, la créativité, la disruptivité, etc. se mutent en de véritables vertus.
Comment dès lors appréhender la diversité des articulations se tissant entre les formes de designs, d’urbains et de territoires ? Les contributions retenues dans le présent numéro tentent d’apporter des éléments de réponse à cette question. Avant de les présenter dans le cadre de trois axes thématiques, il nous apparait pertinen tout d’abord de mettre l’accent sur le profil scientifique des contributeurs eux-mêmes.
En effet, l’appel à contributions a suscité l’intérêt de chercheurs relativement jeunes, parfois accompagnés de scientifiques aguerris. Sur les six papiers sélectionnés pour publication, quatre des premiers auteurs sont ainsi toujours en thèse, et témoignent via leurs observations de dynamiques en « design(s) urbain(s) » très contemporaines. L’appel à contributions semble ainsi faire écho à des recherches émergentes portées par une nouvelle génération de chercheurs, caractérisées par des approches interdisciplinaires renouvelées en termes de cultures du design, de conception urbaine et territoriale.
L’impact de ces recherches interdisciplinaires est particulièrement perceptible sur les terrains français. À l’exception d’une proposition portée par une chercheuse de l’EPFL
sur un terrain belge, les autres propositions s’articulent en effet autour de terrains français. Ce point commun pourrait justifier la diversité sémantique mobilisée autour du concept de « design urbain » : pas nécessairement très usité en France, ce terme s’ouvre ici à une multiplicité d’acceptions. Le parcours des auteurs révèle en outre que sept d’entre eux ont bénéficié d’une formation au design par le passé, parfois en complément d’un passage en architecture, architecture d’intérieur ou urbanisme. Les autres auteurs sont soit des architectes et socio-anthropologues, soit des experts en sciences de l’information et de la communication. Cette combinaison de disciplines a probablement contribué à l’audace thématique et à la pensée originale que l’on capture à travers les pages de ce numéro.
Les propositions sélectionnées pour ce numéro de revue sont en effet considérées comme singulières, à tout le moins conceptuellement parlant, offrant une perspective nouvelle sur la manière de concevoir les territoires. Les chercheurs mettent en évidence l’importance de saisir les cultures émergentes et les dynamiques contemporaines avant même de proposer des solutions innovantes pour la conception urbaine. L’approche interdisciplinaire qu’ils sollicitent permet de transcender les limites traditionnelles de cette conception urbaine et de proposer des solutions plus globales, qui prennent en compte les enjeux sociaux, culturels et environnementaux.En ligne : https://www-cairn-info.portail.psl.eu/revue-sciences-du-design-2023-1.htm Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=bulletin_display&id=7627 Localisation : [n° ou bulletin]À ma mémoire mobile du lieu / Azalina Mouhidini (2023)
Titre : [Mémoire / Thèse. Marseille, École des Beaux-Arts de Marseille-INSEAMM. 2023]
À ma mémoire mobile du lieuAuteurs : Azalina Mouhidini (1996-....), Auteur ; Frédérique Entrialgo (1973-....), Directeur de la recherche ; Philippe Delahautemaison, Directeur de la recherche Editeur(s) : Marseille (France) : Les Beaux-Arts de Marseille-INSEAMM Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (154 p.) Présentation : ill. en noir. Format : 10 x 14 cm Langues : Français (fre) Sujets : Mémoire
Savoir-faire
TerritoireRésumé : Quel est le design Mahorais ?
Je pars de cette transmission par l’oralité que j’ai héritée de mes origines pour entamer un travail de recherche écrite sur le territoire Mahorais au sujet du design.
À travers différents récits sur mes expériences de voyage, où je me positionne en tant que photographe, designer, anthropologue, sociologue, je tente d’apporter des éléments de réponses à cette question.
Note de contenu : Bibliographie p.148-151, sitographie p.152. Pays d'édition : FRANCE Note de Mémoire : Mémoire du Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique, Option Design, Marseille, 2023 Titre de forme : Mémoire / Thèse Ville : Marseille Institution : École des Beaux-Arts de Marseille-INSEAMM Année : 2023 Permalink : https://www.bsad.eu/index.php?lvl=notice_display&id=77107 Tremble Staves : tendre l’oreille au voix de l’eau / Joëlle Dubé in Espace (Montréal), n° 131 (Printemps / été 2022)
PermalinkS'adresser à la ville et l'écouter / Guy Tortosa in Sculptures, n°7 (01/12/2020)
PermalinkPierre des champs / Léa Laroche (2022)
PermalinkLe design, outil de redynamisation d'un territoire ? / Aurélie Barrière (2021)
PermalinkHier est/et demain / Louna Ricci (2021)
PermalinkJe remplace votre facteur / Bourjaillat, Sylvère (2021)
PermalinkLe pas des villes / Alban Magd (2021)
PermalinkLa température des images / Aurélie Verdier in Art Press, n° 465 (avril 2019)
PermalinkEntre / William Jones (2019)
PermalinkExploration systémique des territoires humains / Arnaud Bottini (2019)
Permalink